Paris. Bibliothèque nationale de France, Département des manuscrits, Supplément grec 1046

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Source
Gallica (Bibliothèque nationale de France)
Library
Paris. Bibliothèque nationale de France, Département des manuscrits
Shelfmark
  • Supplément grec 1046
Biblissima authority file
Date
  • Année 1795 (v. f. 242)
Language
  • Greek
Agent
Description
  • Contents:

    « Anthologie » (ἀνθολογία ms., f. 16), recueil de mélodies ecclésiastiques, dues pour la plupart, quant à la musique, à des chantres ou préchantres de Sainte-Sophie (« lampadaires » ou « protopsaltes » de la « Grande Église »), en fonction au XVIIIe siècle.

    L'« anthologie » proprement dite est précédée par : a(ff. 1-3v) des exercices de solfège sur les divers signes musicaux, exercices attribués à PIERRE DE PÉLOPONNÈSE, lampadaire de la Grande Église, sous le titre Τὸ μέγα ἶσον κτλ. (inc. Ἶσον ὀλίγον ὀξεῖα, cf. le ms. de Lavra I 176, ff. 1 ss, n° 1260 dans le catalogue de Sp. Lauriotès et S. Eustratiadès, Κατάλογος... Λαύρας, Paris 1925, p. 209), premier ton authente (sur le musicien, v. G. Papadopoulos, Συμϐολαὶ εἰς τὴν ἱστορίαν τῆς παρ' ἡμῖν ἐκκλησιαστικῆς μουσικῆς, Athènes 1890, pp. 318-324) ; b(ff. 4-15v) les [ἀνοιξαντάρια], partie chantée du Psaume προοιμιακός, par lequel commence l'office des vκpres (i. e. Ps. 103, v. 28, 2e stique-v. 35, avec reprise, ensuite, des vv. 19, 2e stique, 20, 1er st., et 24, st. 1 et 2 ; cf. L. Clugnet, Dictionnaire grec-français des noms liturgiques, Paris 1895, p. 12 ; texte dans la seconde édition romaine de l'ΩΡΟΛΟΓΙΟΝ, 1937, pp. 221-222) : inc. Ἀνοίξαντός σου τὴν χεῖρα (éd. p. 221, l. 7) ; après chaque stique, une doxologie de texte variable, glorifiant successivement, puis ensemble, les trois Personnes de la Trinité ; à la fin, doxologie Gloria Patri (f. 14r.v), puis deux alléluias (f. 15r.v) ; musiques de différents compositeurs, « arrangées » dans le quatrième ton plagal par PIERRE DE PÉLOPONNÈSE (v. le titre du f. 4 : ἀρχὴ... τοῦ μεγάλου ἑσπερινοῦ ποιηθέντος παρὰ διαφόρων ποιητῶν, καὶ ἐξηγηθέντος παρὰ τοῦ κὺρ Πέτρου Πελοποννησίου, λαμπαδαρίου τῆς μεγάλης τοῦ Χριστοῦ ἐκκλησίας ; les musiques antérieures arrangées par Pierre sont successivement de : (ff. 4-7) JEAN KOUKOUZÉLÈS (sur ce musicien, v. G. Papadopoulos, op. cit., pp. 261-265) ; (ff. 7-8) GEORGES Κοντοπετρῆς (cf. ibid., p. 266) ; (ff. 8-9) MANUEL [CHRYSAPHÈS] (cf. S. Eustratiadès, dans l'Appendice au Catalogue de Lavra déjà cité, p. 455, ainsi que, du même auteur, le Κατάλογος τῶν ἐν τῇ μονῇ Βλατέων... κωδίκων, Thessalonique 1918, p. 73, cod. 46, § 6 ; sur Manuel Chrysaphès l'ancien, v. l'article d'A. Papadopoulos-Kérameus dans Vizantijskij Vremennik, VIII, 1901, pp. 526-545) ; (ff. 9-14) JEAN KLADAS (sur ce musicien, V. G. Papadopoulos, op. cit., pp. 274-275) ; (ff. 14-15v) un compositeur ancien qui n'est pas nommé (τὸ παρὸν ψάλλεται δίχορον, μέλος παλαιὸν καὶ ἔντεχνον ms.).

    Le contenu de l'« anthologie » elle-même (titre au f. 16 : ἀνθολογία περιέχουσα ἅπαντα τὰ νέα μαθήματα τῶν ἡμετέρων διδασκάλων...) se répartit comme suit :

    1(ff. 16-22) Le Μακάριος ἀνήρ, i. e. les Psaumes 1-3 (chaque stique se terminant par ἀλληλούϊα) suivis (ff. 21v-22) de quatre alléluias encadrant deux par deux une doxologie, le tout sur une musique de PIERRE DE PÉLOPONNÈSE, quatrième plagal.

    2(ff. 22-32) Kékragaria [= Ps. 140, versets 1 et 2 seulement] des huit tons, musique arrangée par PIERRE DE PÉLOPONNÈSE : (ff. 22-23) premier mode authente ; (ff. 23-24v) deuxième mode ; (ff. 24v-26) troisième mode ; (ff. 26-27v) quatrième mode ; (ff. 27v-28v) premier plagal ; (ff. 28v-30) deuxième plagal ; (f. 30r.v) mode grave ; (ff. 30v-32) quatrième plagal.

    Suit (f. 32r.v), sous la mention τὸ παρὸν ψάλλεται εἰς τὴν μεγάλην εἴσοδον ὑπὸ τῶν ἱερέων, l'hymne ἐπιλύχνιος (Φῶς ἱλαρόν, texte éd. dans W. Christ-M. Paranikas, Anthologia graeca carminum christianorum, Leipzig 1871, p. 40) ; la musique, quatrième ton, est de [PIERRE DE BYZANCE] (par comparaison avec le Suppl. gr. 1332, ff. 17v-18, où le musicien est nommé ; sur Pierre de Byzance, V. G. Papadopoulos, op. cit., p. 311).

    3(ff. 32v-65) Le Πολυέλεος (i. e. le Ps. 134 suivi d'une doxologie glorifiant la Trinité, τριαδικόν ms.) mis en musique successivement par : (ff. 32v-38) JEAN, protopsalte de la Grande Église (il s'agit de Jean de Trébizonde, maître de Pierre de Péloponnèse : V. G. Papadopoulos, op. cit., pp. 311-312), premier mode ; (ff. 38-44) le même JEAN, quatrième mode ; (ff. 44-50) DANIEL, protopsalte de la Grande Église, πολυέλαιος (sic) συνοπτικὸς κὺρ Δανιῆλ κτλ. ms. (V. G. Papadopoulos, op. cit., pp. 313-314), même ton ; (ff. 50-58) PIERRE DE PÉLOPONNÈSE, τοῦ μουσικωτάτου κὺρ Πέτρου κτλ. ms., premier plagal ; (ff. 58-65) le mκme PIERRE, mode grave. Dans chacun des cas, la doxologie finale, amplifiée par l'emploi abondant des « térétismes », occupe plusieurs feuillets. (Sur les « térétismes », V. L. Tardo, L'Antica melurgia bizantina, Grottaferrata 1938, p. 81.)

    4(ff. 65-81v) Πασαπνοάρια (i. e. recueils de versets tirés [ou de tropaires inspirés] des αἶνοι, ou Psaumes 148-150, et commenηant obligatoirement par Ps. 150, 6 : Πᾶσα πνοὴ αἰνεσάτω τὸν κύριον) mis en musique successivement par : (ff. 65-73v) JEAN, protopsalte, en 1756, à la demande du patriarche de CP. Cyrille V, προτροπῇ Κυρίλλου π(ατ)ριάρχου, κατὰ τὸ, αψνς' ms. (trois versions différentes pour le premier mode, une pour le second, une pour le quatrième, et une pour le mode grave) ; (ff. 73v-79v) PIERRE DE PÉLOPONNÈSE (deux versions dans le deuxième ton plagal, une dans le quatrième plagal) ; (ff. 79v-81v) [MANUEL DE] GAZA, quatrième plagal, arrangement de PIERRE DE BYZANCE, Τοῦ Γαζῆ ἔντεχνον, ἐξηγηθὲν παρὰ Πέτρου Βυζαντίου ms. (sur Manuel de Gaza, v. G. Papadopoulos, op. cit., p. ιθ' ; cf. S. Eustratiadès, dans l'Appendice au Catalogue de Lavra, p. 454).

    5(ff. 81v-83) Doxologie (Δόξα... Καὶ νῦν...) pour le dimanche à laudes, après l'évangile ἑωθινόν (τὰ παρόντα ψάλλονται ἐν τῷ ὄρθρ τῇ κυριακῇ μετὰ τὸ ἑωθινὸν εὐαγγέλιον ms.), traitée successivement dans le deuxième ton authente et dans le quatrième plagal : dans le premier cas, la doxologie est suivie d'un tropaire κατανυκτικόν et d'un ἀναστάσιμον (texte dans l'éd. romaine du ΠΕΝΤΗΚΟΣΤΑΡΙΟΝ, 1883, p. 50, ll. 7-11), deuxième ton authente ; dans le second cas, le premier de ces tropaires est suivi d'un autre κατανυκτικόν, combinaison utilisée plusieurs dimanches de suite pendant la préparation au carême et le carême lui-même (texte dans l'éd. romaine du ΤΡΙ[Ω ιοτα]ΔΙΟΝ, 1879, par exemple p. 296, ll. 24-31), et la musique est du deuxième ton plagal.

    6(ff. 83-84) La Τιμιωτέρα (tropaire commenηant par Τὴν τιμιωτέραν τῶν Χερουϐίμ), texte de [COSMAS DE JÉRUSALEM] (éd. Christ-Paranikas, op. cit., p. 195, vv. 43-46), tour à tour dans chacun des huit tons, sans indication de musicien.

    7(ff. 84-91) Les onze tropaires ἑωθινά, sur des musiques anciennes « enjolivées » par JACQUES, protopsalte de la Grande Église, ἑωθινὰ συντετμημένα μετὰ καλλωπισμοῦ ἐκ τῶν παλαιῶν παρὰ κὺρ Ἰακώϐου πρωτοψάλτου κτλ. ms. (le texte de ces tropaires, qu'on attribue à LÉON VI LE SAGE, est, éd. dans Christ-Paranikas, op. cit., pp. 105-109 ; le ton de chacun d'eux est conforme aux indications de l'édition ; sur le protopsalte Jacques, V. G. Papadopoulos, op. cit., pp. 315-316, et C. Émereau, Hymnographi Byzantini, in Échos d'Orient, XXII, 1923, p. 433 ; sur la technique du καλλωπισμός, V. L. Tardo, L'Antica melurgia bizantina, p. 77).

    8(ff. 91-109) La grande doxologie Δόξα ἐν ὑψίστοις, chantée les dimanches et fêtes à laudes (texte dans l'éd. citée de l'Horologium, pp. 126-127) ; la musique est successivement de : (ff. 91-93) JEAN, protopsalte, premier ton ; (ff. 93-95) PIERRE DE PÉLOPONNÈSE, même ton ; (ff. 95-97) PIERRE DE BYZANCE, même ton, ἦχος α' (τετρά)φ(ων)ος ms. ; de PIERRE DE PÉLOPONNÈSE, qui a composé quatre mélodies différentes sur le même texte, à savoir dans le deuxième [? ἦχος λ(έ)γ(ε)τ(ος) ms., cf. Suppl. gr. 1332, f. 117v] (ff. 97-99), puis dans le troisième (ff. 99-101v) et le quatrième (ff. 101v-103) tons authentes, et enfin dans le deuxième ton plagal (ff. 103-105v) ; (ff. 105v-107) DANIEL, protopsalte, mode grave ; (ff. 107-109) JEAN, protopsalte, quatrième plagal.

    9(ff. 109-112v) Trois arrangements, par PIERRE DE PÉLOPONNÈSE : (ff. 109-110v) d'un trisagion τοῦ τιμίου σταυροῦ, quatrième ton ; (ff. 110v-112) d'un trisagion νεκρώσιμον, deuxième plagal ; (f. 112r.v) d'une acclamation pour l'évêque (φήμη παλαιά ms., texte dans J.-B. Rebours, Traité de Psaltique, Paris 1906, p. 193), mode grave.

    10(ff. 112v-118) Divers tropaires chantés au cours de la liturgie de S. JEAN CHRYSOSTOME, soit : (ff. 112v-113) trois tropaires εἰσοδικά, deuxième ton, musique de JEAN, protopsalte : le premier pour les premier et troisième dimanches de carême (éd. citée de l'Horologium, pp. 858 et 860), le deuxième pour Noël (ibid., p. 841), le dernier pour Pâques (ibid., p. 865) ; (ff. 113-114) deux invocations remplaçant le trisagion lors de certaines fêtes du Seigneur (εἰς δεσποτικὰς ἑορτάς ms.), musique de PIERRE [DE PÉLOPONNÈSE] : la première (exprimée deux fois de suite, dans le premier ton plagal) se chante à l'Épiphanie, et aussi pour le dimanche de Pâques (texte dans l'éd. romaine des ΜΗΝΑΙΑ, t. III, 1896, p. 158, et dans celle, déjà citée, du Pentecostarium, p. 19) ; la seconde (exprimée quatre fois de suite, dans le deuxième ton) vaut pour la fête de l'Exaltation de la Croix, 14 septembre (V. éd. citée des Ménées, t. I, 1888, p. 169) ; (ff. 114-115) mis en musique par PIERRE DE PÉLOPONNÈSE, dans le deuxième ton, le trisagion traité trois fois, puis une doxologie (Δόξα... Καὶ νῦν...), ensuite le trisagion encore traité deux fois différemment, enfin un autre trisagion, sur une musique ancienne « arrangée » par le même Pierre (dans les trois dernières invocations, le premier ἅγιος est précédé du mot Δύναμις, cf. Suppl. gr. 1136, f. 59) ; (ff. 115-116v) sur une musique de XÉNOS DE CORON, arrangée par PIERRE DE PÉLOPONNÈSE (le ms. porte une rubrique contradictoire :... Πέτρου λαμπαδαρίου τοῦ Βυζαντίου, mais cf. Suppl. gr. 1332, f. 155), un trisagion (précédé de Δύναμις), deuxième ton, traité avec beaucoup de « térétismes » (sur le musicien, V. G. Papadopoulos, op. cit., pp. 266-267) ; (ff. 116v-118) mis en musique par PIERRE DE PÉLOPONNÈSE, un trisagion (τοῦ βήματος ms.), deuxième ton, puis un alléluia, chanté πρὸ τοῦ εὐαγγελ(ίου), mode grave, ensuite deux courtes acclamations pour l'évêque (i. e. la fin de l'acclamation qui figure au f. 112r.v), la première saluant le prélat à son entrée (deuxième ton), la seconde prenant place après l'évangile (troisième ton), puis une doxologie (même ton), ensuite une autre acclamation pour l'évêque, μετὰ τὴν ἀπόλυσιν ms. (texte comme au f. 112r.v), deuxième ton, enfin un Kyrie pour une ordination (même ton), suivi du mot Ἄξιος chanté trois fois dans le troisième ton.

    11(ff. 118-144) Χερουϐικά (i. e., mise en musique par divers compositeurs, l'hymne Οἱ τὰ Χερουϐὶμ μυστικῶς κτλ., que l'on chante pendant la grande entrée, texte dans l'éd. romaine de l'ΕΥΧΟΛΟΓΙΟΝ, 1873, p. 55) ; traités successivement par : (ff. 118-122v) DANIEL, protopsalte, dans les trois premiers tons ; (ff. 122v-132v) PIERRE [DE PÉLOPONNÈSE] (ἕτερα χερουϐικὰ μεταγενέστερα κὺρ Πέτρου, ἢ ἀνωνύμου τινός ms., mais cf. Suppl. gr. 1332, f. 165), dans les huit tons ; (ff. 133-140) encore PIERRE DE PÉLOPONNÈSE, autre série dans les huit tons ; enfin, du même compositeur, deux suites de χερουϐικὰ σύντομα τῆς ἑϐδομάδος, la première (ff. 140-142) dans les tons I authente, grave, IV authente, IV et I plagaux, la seconde (ff. 142v-144) dans les mêmes tons.

    12(ff. 144-145v) Trois courtes hymnes de la liturgie de S. BASILE, musique de PIERRE DE PÉLOPONNÈSE, à savoir : l'ἐπινίκιος ὕμνος, deuxième ton (cf. J.-B. Rebours, op. cit., pp. 166-167, et l'éd. citée de l'Euchologe, p. 89, ll. 1-4), puis (f. 145) l'invocation Σὲ ὑμνοῦμεν, mκme ton (cf. J.-B. Rebours, pp. 170-171 ; Euchologe, p. 92), et ensuite (f. 145r.v) la fin du théotokion Ἐπὶ σοὶ χαίρει, κεχαριτωμένη (à partir de Τὴν γὰρ σὴν μήτραν, Euchologe, p. 94, ll. 8-6 du bas) ; la musique de cette dernière pièce, dans le premier ton, est un arrangement d'une composition originale de XÉNOS DE CORON, et porte l'indication (τετρά)φ(ων)ος.

    13(ff. 145v-147) Chants de la messe des présanctifiés, musique de PIERRE DE PÉLOPONNÈSE (τοῦ αὐτοῦ ms.), soit : le Κατευθυνθήτω (texte dans J. Goar, ΕΥΧΟΛΟΓΙΟΝ, Paris 1647, p. 202, col. 1, ll. 8-6 du bas), deuxième plagal, puis le Νῦν αἱ δυνάμεις (ibid., p. 202, col. 2, ll. 3-1 du bas, et p. 203, col. 1, ll. 1-2) traité deux fois de suite dans le même ton (v. aussi J.-B. Rebours, op. cit., pp. 186-193, qui donne le texte du Κατευθυνθήτω et du Νῦν αἱ δυνάμεις avec des musiques plus récentes), enfin le koinonikon Γεύσασθε καὶ ἴδετε (v. référence donnée pour le Suppl. gr. 1302, f. 109r.v), premier ton, avec la mention (τετρά)φ(ων)ος.

    14(ff. 147-169) Koinonika (i. e. tropaires chantés pendant la communion), selon l'ordre des huit tons ; dans toute cette section, le tropaire mis en musique est celui des dimanches ordinaires : Αἰνεῖτε τὸν κύριον ἐκ τῶν οὐρανῶν, ἀλληλούϊα (cf. Suppl. gr. 1135, ff. 61v-93) ; les musiciens sont successivement : (ff. 147-151) DANIEL, protopsalte ; (ff. 151-163v) PIERRE DE PÉLOPONNÈSE, dont sont données trois séries complètes, la dernière (ἕτερα τοῦ αὐτοῦ ἡδύτατα ms., f. 158) comportant deux exemples pour le mode grave ; (ff. 163v-169) PIERRE DE BYZANCE (κοινωνικὰ ἕτερα νεωστὶ συντεθέντα κατ' ἦχον παρὰ κὺρ Πέτρου λαμπαδαρίου τοῦ Βυζαντίου ms. : malgré l'attribution de la fonction de « lampadaire » à Pierre de Byzance, qui est, normalement, toujours désigné comme « protopsalte », c'est bien à ce musicien, semble-t-il, qu'il faut conserver la paternité de cette série, car Pierre de Péloponnèse était mort en 1777, alors que Pierre de Byzance, qui fut le maître du réformateur Chrysanthe, vivait sans doute encore vers la fin du siècle, — fait qui s'accorde mieux avec le mot νεωστί).

    15(ff. 169-171) Koinonika pour les jours de la semaine, du lundi au samedi, musique de PIERRE DE PÉLOPONNÈSE, dans les mêmes tons que les χερουϐικὰ τῆς ἑϐδομάδος (cf. ci-dessus, ff. 140-142), le premier plagal étant employé deux fois, pour le vendredi et pour le samedi ; le tropaire chanté est chaque jour différent (cf. Suppl. gr. 1135, ff. 93-107, à propos duquel sont données des références détaillées).

    16(ff. 171-200) Koinonika pour diverses fêtes fixes et mobiles, ἀρχὴ... τῶν κοινωνικῶν τῶν τε δεσποτικῶν ἑορτῶν, καὶ θεομητορικῶν, κ(α)ὶ ἄλλων ἑορταζομένων ἁγίων ms. Le tropaire chanté varie avec chaque solennité, et chaque tropaire est généralement traité d'abord par DANIEL, protopsalte, puis par PIERRE DE PÉLOPONNÈSE ; on trouve successivement des koinonika pour : (ff. 171-172) [la fête des archanges Michel et Gabriel], 8 novembre (même texte que pour le lundi, cf. plus haut, f. 169) : la version de Daniel est dans le deuxième plagal, celle de Pierre dans le premier authente ; (ff. 172-173) [les fêtes des saints] (même texte que pour le mardi, cf. plus haut, f. 169r.v) : mode grave pour Daniel, quatrième plagal pour Pierre (les titres de ces premiers tropaires sont restitués par comparaison avec le Suppl. gr. 1321, ff. 459v-462) ; (ff. 173-174v) les fêtes de la Vierge (même texte que pour le mercredi, cf. ci-dessus, ff. 169v-170) : quatrième ton, et premier plagal ; (ff. 174v-176) la fête des Apôtres, 30 juin (même texte que pour le jeudi, cf. ci-dessus, f. 170r.v) : une version par Daniel, quatrième plagal, et deux par Pierre, successivement dans le premier et le deuxième tons authentes ; (f. 176r.v) l'Exaltation de la Croix, 14 septembre (texte dans l'éd. citée des Ménées, t. I, p. 169) : premier authente, et premier plagal ; (ff. 177-179) Noël (texte ibid., t. II, 1889, p. 673) : une version par Daniel, premier ton, (τετρά)φ(ων)ος, et deux par Pierre, premier plagal et premier authente ; (ff. 179-180) l'Ιpiphanie (ibid., t. III, p. 158) : premier mode, et mode grave ; (ff. 180-181v) l'Annonciation, 25 mars (ibid., t. IV, 1898, p. 187, où ce koinonikon est donné pour le 26 mars) : premier ton pour les deux versions, celle de Daniel portant la mention (τετρά)φ(ων)ος ; (ff. 181v-182v) la veille du dimanche des Rameaux, τῷ σαϐάτῳ τοῦ δικαίου Λαζάρου ms. (texte dans l'éd. citée du Triodium, p. 600) : les deux versions sont attribuées à Pierre, dans le premier ton ; (ff. 182v-183v) le dimanche des Rameaux (texte ibid., p. 614) : quatrième ton pour les deux versions ; (ff. 183v-184) le Jeudi saint (ibid., p. 663) : une seule version, deuxième plagal, attribuée à Pierre (τοῦ αὐτοῦ... ἀντὶ χερουϐικοῦ, καὶ κοινωνικοῦ ms.) ; (ff. 184-185) le Samedi saint (ibid., p. 760) : attribués à Pierre (τοῦ αὐτοῦ ms.), un tropaire ἀντὶ χερουϐικοῦ, premier plagal, puis le koinonikon, premier authente ; (ff. 185-187) le dimanche de Pâques (texte dans l'éd. citée du ΠΕΝΤΗΚΟΣΤΑΡΙΟΝ, p. 19) : premier plagal, et premier authente ; (ff. 187-188) le dimanche de Quasimodo, τῇ κυριακῇ τοῦ ἀντιπάσχα ms. (texte ibid., p. 57) : les deux versions dans le premier plagal ; (ff. 188-189v) le mercredi τῆς μεσοπεντηκοστῆς (ibid., p. 189) : les deux versions dans le quatrième ton ; (ff. 189v-190v) l'Ascension (ibid., p. 325) : les deux versions dans le quatrième ton ; (ff. 190v-191v) la Pentecôte (le texte diffère de celui de l'éd., p. 407 ; le ms. a : Τὸ πνεῦμά σου τὸ ἅγιον μὴ ἀντανέλῃς ἀφ' ἡμῶν, δεόμεθα, φιλάνθρωπε, ἀλληλούϊα, version presque identique au début d'un stichère προσόμοιον qui se chante le jeudi suivant, cf. ibid., p. 437, ll. 11-12) : premier authente, et mode grave ; (ff. 191v-194) le premier dimanche après la Pentecôte, τῶν ἁγίων πάντων ms. (texte ibid., p. 472, deuxième formule) : une version par Daniel, quatrième plagal, et trois par Pierre (une dans le premier plagal, puis deux dans le quatrième plagal) ; (ff. 194-195v) la Transfiguration, 6 août (texte dans l'éd. citée des Ménées, t. VI, 1901, p. 346) : mode grave, et quatrième authente.

    Suivent plusieurs koinonika sans titre : les trois premiers (ff. 195v-198) mis en musique par JEAN, protopsalte (texte des deux premiers identique à celui des koinonika figurant plus haut, ff. 171-173, texte du troisième à celui des ff. 174v-176), successivement dans le quatrième plagal et (les deux derniers) dans le mode grave ; le suivant (ff. 198-199v) sur une musique de MANUEL CHRYSAPHÈS, arrangée par PIERRE DE PÉLOPONNÈSE (même texte qu'aux ff. 172-173), troisième ton ; le dernier (ff. 199v-200) attribué à PIERRE DE PÉLOPONNÈSE (même texte qu'aux ff. 173-174v), quatrième ton.

    17(ff. 205-242) Collection de « leçons » (ἀρχὴ... τῶν μαθημάτων ms.) de divers musiciens. De DANIEL, protopsalte (τοῦ μουσικολογιωτάτου κὺρ Δανιῆλ πρωτοψάλτου κτλ. ms., f. 205) : (ff. 205-207v) des μεγαλυνάρια pour Noλl (le premier correspond au troisième dans l'éd. citée des Ménées, t. II, p. 669, les suivants diffèrent de l'édition), premier ton ; (ff. 207v-210) un tropaire εἰς τὴν ζωοδόχον πηγήν (inc. Ῥῶσιν διὰ τοῦ ῥαντίσματος), mκme ton ; (ff. 210-213) un théotokion pour les fêtes de la Vierge (inc. Σὲ προκατήγγειλε), premier ton, avec l'indication (τετρά)φ(ων)ος ; (ff. 213-217v) un hirmos chanté notamment pour l'Assomption (texte dans l'éd. citée des Ménées, t. VI, p. 419, ll. 12-15), ὀργανικὸν λίαν καὶ ἔντεχνον ms., quatrième ton ; (ff. 217v-219v) l'avant-dernier tropaire chanté à la suite du petit canon supplicatoire à la Sainte Vierge (texte dans l'éd. citée de l'Horologium, p. 921, ll. 15-17), même ton ; (ff. 219v-221v) un théotokion, τοῦ αὐτοῦ γράμματα καὶ μέλος ms. (inc. Χαῖρε, κατάρας λύτρωσις), premier plagal ; (ff. 221v-224v) un tropaire en l'honneur de S. Nicolas (inc. Πανάγιε Νικόλαε : ce tropaire ne figure pas dans l'éd. citée des Ménées, du moins à la date du 6 décembre), même ton ; (ff. 224v-225v) le κοντάκιον intercalé dans le « grand canon » (ψαλλόμενον τῇ ἑσπέρᾳ τοῦ μεγάλου κανόνος ms.) que l'on chante soit aux grandes compiles de la première semaine de carême (texte dans l'éd. citée du Triodium, p. 144, et pp. 160, 177, 193), soit le jeudi matin de la cinquième semaine (ibid., p. 479), deuxième plagal ; (ff. 225v-227) un théotokion (inc. Σὲ μεγαλύνομεν, ἁγνή), mode grave. De PIERRE DE PÉLOPONNÈSE : (ff. 227-231) l'οἶκος 14 de l'Hymne acathiste (texte de la strophe dans W. Christ-M. Paranikas, op. cit., p. 144, vv. 169-174, ou dans E. Wellesz, The Akathistos Hymn [Monumenta Musicae Byzantinae, Transcripta, IX], Copenhague 1957, p. LXXV), mode grave ; (ff. 231-233v) un ἀπολυτίκιον pour la fκte de Sainte Euphémie, 11 juillet (texte dans l'éd. citée de l'Horologium, p. 655, ll. 7-12). De PIERRE DE BYZANCE (Πέτρου λαμπαδαρίου τοῦ Βυζαντίου sic ms., f. 233v) : (ff. 233v-236) un théotokion (inc. Ἐπίϐλεψον ἐν εὐμενείᾳ), premier ton ; (ff. 236-238v) l'arrangement d'un autre théotokion, mis précédemment en musique par JEAN KOUKOUZÉLÈS (inc. Ἄνωθεν οἱ προφῆται), mode grave. De MANUEL CHRYSAPHÈS [LE JEUNE (cf. Suppl. gr. 1138, p. 1)] : (ff. 238v-239) un stichère pour le dimanche de Pâques (texte dans l'éd. citée du Pentecostarium, p. 12, ll. 6-2 du bas, jusqu'au mot πατήσας), premier plagal. De PIERRE DE BYZANCE : (ff. 239-241) l'arrangement du κράτημα correspondant au stichère précédent (avec la fin du stichère lui-même), antérieurement mis en musique par le même CHRYSAPHÈS (sur le κράτημα, V. L. Tardo, op. cit., p. 81), premier ton. De PIERRE DE PÉLOPONNÈSE : (ff. 241-242) un autre κράτημα, premier ton, avec la mention (τετρά)φ(ων)ος.

    Physical Description:

    Papier. ff. 242 (+ 48a), 28 lignes (dont 14 de notation musicale). mm. 200 × 150. Reliure contemporaine du volume, maroquin rouge, à décor doré : le long des bords des plats, une petite roulette, répétée symétriquement pour former un encadrement intérieur semblable ; dans celui-ci, les écoinçons et le losange central sont constitués par une sorte de dentelle à petits fers variés (rinceaux, fleurettes, et un fer à l'oiseau perché qui figure douze fois sur chaque plat) ; au centre du plat antérieur, dans un petit médaillon elliptique, a été poussée en or une crucifixion fort schématique ; de même, au plat postérieur, une Vierge à l'Enfant ; dos également doré, aux petits fers, entre les nerfs. Tranches dorées et ciselées. Une garde polychrome collée sur chaque contre-plat. Signets : trois de soie rose, deux de soie violette, un de soie verte. Vingt-neuf cahiers, numérotés (en chiffres arabes) dans le coin inférieur droit du premier feuillet de chacun d'eux, couvrent les ff. 16-244v (le foliotage exprimé cessant avec le dernier feuillet écrit, f. 242) ; ces cahiers, quaternions à l'exception du numéro 15 (ternion), sont précédés de deux quaternions et d'un binion non numérotés (soit les cinq feuillets de garde non foliotés, plus les ff. 1-15), et suivis d'un autre quaternion sans signature ni foliotage. En outre, les cahiers numérotés de 16 à 24 portent, de première main, dans le coin supérieur droit de leur premier feuillet, une série de signatures allant de α' ΰ θ'. Les différentes sections du volume étant toutes dues à la même main, il est probable que le copiste n'a pas composé ce recueil de façon suivie, mais en réunissant des portions copiées à des dates plus ou moins espacées : ainsi, les ff. 1-15 (peut-être gardes blanches à l'origine) ont dû être emplis après que le corps du volume eut été exécuté (le titre pour l'ensemble de l'« anthologie » est en effet au f. 16), et constitueraient une sorte de supplément. Remarquons, dans le même sens, que les ff. 200v-204v sont restés vides d'écriture, ce qui souligne l'autonomie temporaire de la partie du ms. allant du f. 133 au f. 204v, autonomie déjà indiquée par la seconde série de signatures (α'-θ'). Autres feuillets blancs : tous ceux qui précèdent le f. 1 ; à l'autre bout, le f. 242v et tous les feuillets qui suivent. Il y a un feuillet non numéroté entre 48 et 49. Copie soignée, écriture d'une élégante régularité : il s'agit de celle d'Anastase, domesticos de la Grande Église, originaire de Proconèse (Marmara), qui a signé son travail, en rouge, au f. 242, à la date du 29 mai 1795 (souscription reproduite par H. Omont, Les Mss grecs datés des XVe et XVIe siècles..., Appendice, Paris 1892, p. 87) ; au-dessus, en rouge également, trois vers de douze syllabes du même copiste, recommandant à la Sainte Trinité le scribe, le possesseur, et le lecteur attentif du volume. L'ensemble du travail de copie est dû à Anastase, qui a écrit non seulement le texte et les neumes (en noir), mais aussi les titres, martyries, signes de chironomie etc. (en rouge), le tout sur un papier d'aspect légèrement glacé, dont tous les feuillets (même ceux qui sont restés blancs) ont été soigneusement réglés. Les initiales, majeures et mineures, en rouge, ainsi que les bandeaux (aux encres noire et rouge, v. notamment ff. 4. 16. 22. 32v. 118. 133. 147. 205) qui complètent l'ornementation, sont probablement aussi l'œuvre du même copiste. Le manuscrit, entré à la Bibliothèque nationale, par voie d'achat, le 21 janvier 1886, a fait l'objet d'une notice très sommaire dans le Catalogue des mss de musique byzantine de la Bibliothèque nationale... (Paris 1907, p. 91), d'A. Gastoué.
    CHRYSAPHÈS LE JEUNE (Manuel), musicien • kratèma
    CHRYSAPHÈS LE JEUNE (Manuel), musicien • stichère pour le dimanche de Pâques
    CHRYSAPHÈS (Manuel), musicien • ἀνοιξαντάρια
    CHRYSAPHÈS (Manuel), musicien • koinonika
    COSMAS DE JÉRUSALEM • Canons (avec gloses interlinéaires). texte de la Τιμιωτέρα
    DANIEL, protopsalte, musicien • μαθήματα
    DANIEL, protopsalte, musicien • chéroubika
    DANIEL, protopsalte, musicien • doxologie Δόξα ἐν ὑψίστοις
    DANIEL, protopsalte, musicien • koinonika pour les dimanches ordinaires
    DANIEL, protopsalte, musicien • koinonika pour les fêtes du Seigneur, de la Vierge et des Saints
    DANIEL, protopsalte, musicien • koinonika pour les jours de la semaine
    DANIEL, protopsalte, musicien • polyéléos
    GEORGES Κονοπετρῆς, musicien • cantiques pour les grandes vêpres
    JACQUES, protopsalte de la Grande Église, musicien • onze tropaires ἑωθινά
    JEAN KLADAS, musicien • cantiques pour les grandes vêpres
    JEAN KOUKOUZÉLÈS, musicien • cantiques pour les grandes vêpres
    JEAN KOUKOUZÉLÈS, musicien • théotokion Ἄνωθεν οἱ προφῆται
    JEAN, protopsalte de la Grande Église, musicien • πασαπνοάρια
    JEAN, protopsalte de la Grande Église, musicien • doxologie Δόξα ἐν ὑψίστοις
    JEAN, protopsalte de la Grande Église, musicien • koinonika
    JEAN, protopsalte de la Grande Église, musicien • polyéléos
    JEAN, protopsalte de la Grande Église, musicien • tropaires chantés (dans la liturgie de s. Jean Chrysostome)
    LÉON VI LE SAGE • onze tropaires ἑωθινά
    MANUEL DE GAZA • musique de πασαπνοάρια
    PIERRE DE BYZANCE, musicien • μαθήματα
    PIERRE DE BYZANCE, musicien • arrangement de πασαπνοάρια
    PIERRE DE BYZANCE, musicien • arrangement d'un théotokion
    PIERRE DE BYZANCE, musicien • doxologie Δόξα ἐν ὑψίστοις
    PIERRE DE BYZANCE, musicien • hymne ἐπιλύχνιος
    PIERRE DE BYZANCE, musicien • koinonika pour les dimanches ordinaires
    PIERRE DE BYZANCE, musicien • kratèma
    PIERRE DE PÉLOPONNÈSE, musicien • ἀνοιξαντάρια pour les grandes vêpres (arrangement)
    PIERRE DE PÉLOPONNÈSE, musicien • Μακάριος ἀνήρ
    PIERRE DE PÉLOPONNÈSE, musicien • μαθήματα
    PIERRE DE PÉLOPONNÈSE, musicien • πασαπνοάρια
    PIERRE DE PÉLOPONNÈSE, musicien • χερουϐικὰ τῆς ἑϐδομάδος
    PIERRE DE PÉLOPONNÈSE, musicien • acclamation pour l'évêque (arrangement)
    PIERRE DE PÉLOPONNÈSE, musicien • chéroubika
    PIERRE DE PÉLOPONNÈSE, musicien • doxologie Δόξα ἐν ὑψίστοις
    PIERRE DE PÉLOPONNÈSE, musicien • exercices de solfège
    PIERRE DE PÉLOPONNÈSE, musicien • kékragaria des huit tons
    PIERRE DE PÉLOPONNÈSE, musicien • koinonika pour les dimanches ordinaires
    PIERRE DE PÉLOPONNÈSE, musicien • koinonika pour les fêtes du Seigneur, de la Vierge et des Saints
    PIERRE DE PÉLOPONNÈSE, musicien • koinonika pour les jours de la semaine
    PIERRE DE PÉLOPONNÈSE, musicien • polyéléos
    PIERRE DE PÉLOPONNÈSE, musicien • trisagion (arrangements)
    PIERRE DE PÉLOPONNÈSE, musicien • trop, chantés dans la liturgie de s. Jean Chrysostome
    PIERRE DE PÉLOPONNÈSE, musicien • trop. chantés dans la liturgie des présanctifiés
    PIERRE DE PÉLOPONNÈSE, musicien • tropaire remplaçant le chéroubikon et le koinonikon, pour le Jeudi saint
    PIERRE DE PÉLOPONNÈSE, musicien • tropaire remplaçant le chéroubikon, pour le Samedi saint
    PIERRE DE PÉLOPONNÈSE, musicien • tropaires chantés dans la liturgie de s. Basile
    XÉNOS DE CORON, musicien • théotokion chanté dans la liturgie de s. Basile
    XÉNOS DE CORON, musicien • tropaires chantés dans la liturgie de s. Jean Chrysostome
    Anastase de Proconèse
    MUSIQUE ECCLÉSIASTIQUE • Offices et tropaires notés. ἀνοιξαντάρια
    MUSIQUE ECCLÉSIASTIQUE • Offices et tropaires notés. Τιμιωτέρα
    MUSIQUE ECCLÉSIASTIQUE • Offices et tropaires notés. doxologies : Δόξα... Καὶ νῦν...
    MUSIQUE ECCLÉSIASTIQUE • Offices et tropaires notés. koin. pour la Pentecôte
    MUSIQUE ECCLÉSIASTIQUE • Offices et tropaires notés. « anthologie »
    MUSIQUE ECCLÉSIASTIQUE • tropaires. trop, chantés dans la liturgie de s. Jean Chrysostome
    reliures • XVIIIe s.
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