Paris. Bibliothèque interuniversitaire de la Sorbonne, SPG 6= 74
- Source
- NuBIS (Sorbonne)
- Library
- Bibliothèque interuniversitaire de la Sorbonne
- Shelfmark
-
- SPG 6= 74
- Biblissima authority file
- Date
-
- 1692
- 17e s.
- Language
-
- French
- Title
-
- Reponse aux Reflexions critiques de M. Du Hamel sur le systeme cartesien de la philosophie de Mr Regis. Par Pierre Sylvain Regis
- Agent
-
-
- Preferred form
-
- Pierre-Sylvain Régis (1632-1707)
- Role
-
- Author
- Original form
-
- Régis, Pierre-Sylvain (1637-1707)
- Biblissima portal
- Biblissima authority file
-
- Preferred form
-
- Jean Du Hamel (16..-1717?)
- Role
-
- Dedicatee
- Original form
-
- Du Hamel, Jean (16..-173.)
- Other form
-
- Du Hamel, Jean (1650?-1743)
- Biblissima portal
- Biblissima authority file
-
- Preferred form
-
- Jean-Gabriel Petit de Montempuys (16..-1763)
- Role
-
- Former owner
- Original form
-
- Petit de Montempuys, Jean-Gabriel (16..-1763)
- Biblissima portal
- Biblissima authority file
-
- Preferred form
-
- Jean Cusson (1633?-1704)
- Role
-
- Printer-bookseller
- Original form
-
- Cusson, Jean (1633?-170.). Imprimeur / Imprimeur-libraire
- Biblissima portal
- Biblissima authority file
-
- Description
-
- [Page de titre] [Epître dédicatoire] Preface. Extrait du
privilege du Roy. [Première partie.] Chapitre premier. Du doute
que les cartesiens exigent pour la recherche de la verité. -
Chapitre II. Si le doute des cartesiens est serieux, effectif &
absolu. Chapitre III. Si ce doute est general, & s'il s'étend
jusqu'à leur propre pensée. Chapitre IV. Si après un doute
general on peut s'assurer de quelque chose. - Chapitre V. Ce qu'on
doit entendre par le mot d'idée. Chapitre VI. De l'estre formel &
objectif des idées. Chapitre VII. Si l'évidence est le vray &
unique caractere de la verité. - Chapitre VIII. Si les idées sont
semblables aux choses qu'elles font connoître. Chapitre IX. Si ce
qui est contenu dans l'idée claire d'une chose, doit convenir à
cette chose. Chapitre X. Si les idées dépendent de leurs objets,
comme de leurs causes exemplaires. Chapitre XI. Si l'objet doit
contenir formellement les perfections que les idées representent.
Chapitre XII. Si la difference des idées est une marque certaine
de la difference des choses. Chapitre XIII. Si les cartesiens
raisonnent juste, quand ils disent: Je pense, donc je suis.
Chapitre XIV. Si cette proposition: Je pense, donc je suis, est la
premiere verité qu'on connoît. Chapitre XV. Si chaque estre
persevere de luy-mesme dans l'état où il est. Chapitre XVI. Si la
nature de l'esprit consiste dans la pensée actuelle. Chapitre
XVII. Si l'auteur prouve bien l'existence du corps. Chapitre XVIII.
Si les cartesiens démontrent bien l'existence de Dieu par l'idée
que nous avons de Dieu. Chapitre XIX. Si Dieu peut détruire les
substances qu'il a produites. Chapitre XX. Si la possibilité &
l'impossibilité viennent originairement & radicalement de la
volonté de Dieu. Chapitre XXI. Si la puissance de Dieu peut estre
separée de l'acte.- Chapitre XXII. Si les cartesiens prouvent bien
que leur esprit dépend de Dieu comme de l'auteur de son existence.
Chapitre XXIII. Si l'ame, & l'homme pris formellement consistent
dans l'union de l'esprit & du corps. Chapitre XXIV. Si l'union de
l'esprit & du corps consiste formellement dans la dépendance
mutuelle de leurs fonctions, & si la volonté de Dieu en est la
cause efficiente. Chapitre XXV. Si l'esprit est uny au corps par
une presence locale, & s'il pense toujours. Chapitre XXVI. Si quand
il s'agit des veritez necessaires, les cartesiens peuvent répondre
par la cause formelle, en disant que telle est la nature des
choses. Chapitre XXVII. S'il est de l'essence de l'ame de
connoître le corps en general. Chapitre XXVIII. Si l'idée, ou la
connoissance de Dieu est essentielle à l'ame. Chapitre XXIX. Si
l'ame se connoît mieux qu'elle ne connoît le corps. Chapitre XXX.
Si l'ame connoît sans idée les choses qui sont en elle-mesme. -
Chapitre XXXI. Si l'ame connoît les esprits par sa propre
subsistance. Chapitre XXXII. Si c'est la volonté qui juge & qui
raisonne. Chapitre XXXIII. Si la volonté est une puissance active.
Chapitre XXXIV. Si l'auteur explique bien l'indifference du libre
arbitre. Chapitre XXXV. S'il est de l'essence de l'ame d'aimer son
union avec le corps. Chapitre XXXVI. Si l'auteur explique mieux la
liberté de Dieu, que la liberté humaine. Chapitre XXXVII. Si l'on
recompense & si l'on punit les actions seulement pour exciter ceux
qui les ont faites, à en faire ou à n'en pas faire de semblables.
Chapitre XXXVIII. De la difference qu'il y a entre un homme de
bien, & un homme de merite. Chapitre XXXIX. Si les cartesiens
démontrent bien l'immortalité de l'ame. Chapitre XL. Si l'esprit
creé aime essentiellement Dieu. Seconde partie. Chapitre premier.
De l'idée que l'on doit avoir de la quantité. Chapitre II. Si la
divisibilité est une proprieté du corps, comme elle l'est de la
quantité. Chapitre III. Si la quantité indéterminée est de
l'essence des corps particuliers, & si la quantité déterminée en
est un accident commun. Chapitre IV. Si le vuide des philosophes
est impossible. Chapitre V. Si le monde est immense. Chapitre VI.
Si le lieu interieur est le corps qui occupe ce lieu. Chapitre VII.
Si les cartesiens definissent bien le mouvement local. Chapitre
VIII. Si un corps se peut mouvoir de luy-mesme. Chapitre IX. Si un
corps en mouvement continuë à se mouvoir. Chapitre X. Si tout
corps qui est mû en rond, tend sans cesse à s'éloigner du centre
du cercle qu'il décrit. Chapitre XI. S'il faut plus de force à
mouvoir un grand corps qu'à en mouvoir un petit. Chapitre XII. Si
les regles que M. Descartes a données touchant le mouvement des
corps qui se choquent, sont veritables. Chapitre XIII. S'il y a
toujours dans le monde une mesme quantité de mouvement. Chapitre
XIV. Si la formation des trois elemens de M. Descartes, est
possible. Chapitre XV. Si dans le grand tourbillon les planetes
tournent autour de leur propre centre, & font un tourbillon
particulier. Chapitre XVI. Si les corps pesans descendent à cause
du mouvement circulaire du tourbillon particulier de la terre.
Chapitre XVII. Des corps liquides & des corps durs. Chapitre XVIII.
S'il y a des corps durs par eux-mesmes. Chapitre XIX. De l'aiman.
Chapitre XX. De l'ame des bestes. Chapitres ausquels il n'a pas
esté répondu dans la premiere partie, & dont il est parlé dans
la preface. Chapitre premier. Du doute que les cartesiens exigent
pour la recherche de la verité. Chapitre II. Si le doute des
cartesiens est serieux, effectif & absolu. Chapitre III. Si ce
doute est general, & s'il s'étend sur sa propre pensée. Chapitre
IV. Si après un doute general, on peut s'assurer de quelque chose.
Chapitre VII. Si l'évidence est le vray & unique caractere de la
verité. Chapitre XXXII. Si c'est la volonté qui juge & qui
raisonne.
Format: [12]-263 p. ; in-12
Cachets : Montempuis ; bibl. de l'Université de Paris (18e s.)
- [Page de titre] [Epître dédicatoire] Preface. Extrait du
privilege du Roy. [Première partie.] Chapitre premier. Du doute
que les cartesiens exigent pour la recherche de la verité. -
Chapitre II. Si le doute des cartesiens est serieux, effectif &
absolu. Chapitre III. Si ce doute est general, & s'il s'étend
jusqu'à leur propre pensée. Chapitre IV. Si après un doute
general on peut s'assurer de quelque chose. - Chapitre V. Ce qu'on
doit entendre par le mot d'idée. Chapitre VI. De l'estre formel &
objectif des idées. Chapitre VII. Si l'évidence est le vray &
unique caractere de la verité. - Chapitre VIII. Si les idées sont
semblables aux choses qu'elles font connoître. Chapitre IX. Si ce
qui est contenu dans l'idée claire d'une chose, doit convenir à
cette chose. Chapitre X. Si les idées dépendent de leurs objets,
comme de leurs causes exemplaires. Chapitre XI. Si l'objet doit
contenir formellement les perfections que les idées representent.
Chapitre XII. Si la difference des idées est une marque certaine
de la difference des choses. Chapitre XIII. Si les cartesiens
raisonnent juste, quand ils disent: Je pense, donc je suis.
Chapitre XIV. Si cette proposition: Je pense, donc je suis, est la
premiere verité qu'on connoît. Chapitre XV. Si chaque estre
persevere de luy-mesme dans l'état où il est. Chapitre XVI. Si la
nature de l'esprit consiste dans la pensée actuelle. Chapitre
XVII. Si l'auteur prouve bien l'existence du corps. Chapitre XVIII.
Si les cartesiens démontrent bien l'existence de Dieu par l'idée
que nous avons de Dieu. Chapitre XIX. Si Dieu peut détruire les
substances qu'il a produites. Chapitre XX. Si la possibilité &
l'impossibilité viennent originairement & radicalement de la
volonté de Dieu. Chapitre XXI. Si la puissance de Dieu peut estre
separée de l'acte.- Chapitre XXII. Si les cartesiens prouvent bien
que leur esprit dépend de Dieu comme de l'auteur de son existence.
Chapitre XXIII. Si l'ame, & l'homme pris formellement consistent
dans l'union de l'esprit & du corps. Chapitre XXIV. Si l'union de
l'esprit & du corps consiste formellement dans la dépendance
mutuelle de leurs fonctions, & si la volonté de Dieu en est la
cause efficiente. Chapitre XXV. Si l'esprit est uny au corps par
une presence locale, & s'il pense toujours. Chapitre XXVI. Si quand
il s'agit des veritez necessaires, les cartesiens peuvent répondre
par la cause formelle, en disant que telle est la nature des
choses. Chapitre XXVII. S'il est de l'essence de l'ame de
connoître le corps en general. Chapitre XXVIII. Si l'idée, ou la
connoissance de Dieu est essentielle à l'ame. Chapitre XXIX. Si
l'ame se connoît mieux qu'elle ne connoît le corps. Chapitre XXX.
Si l'ame connoît sans idée les choses qui sont en elle-mesme. -
Chapitre XXXI. Si l'ame connoît les esprits par sa propre
subsistance. Chapitre XXXII. Si c'est la volonté qui juge & qui
raisonne. Chapitre XXXIII. Si la volonté est une puissance active.
Chapitre XXXIV. Si l'auteur explique bien l'indifference du libre
arbitre. Chapitre XXXV. S'il est de l'essence de l'ame d'aimer son
union avec le corps. Chapitre XXXVI. Si l'auteur explique mieux la
liberté de Dieu, que la liberté humaine. Chapitre XXXVII. Si l'on
recompense & si l'on punit les actions seulement pour exciter ceux
qui les ont faites, à en faire ou à n'en pas faire de semblables.
Chapitre XXXVIII. De la difference qu'il y a entre un homme de
bien, & un homme de merite. Chapitre XXXIX. Si les cartesiens
démontrent bien l'immortalité de l'ame. Chapitre XL. Si l'esprit
creé aime essentiellement Dieu. Seconde partie. Chapitre premier.
De l'idée que l'on doit avoir de la quantité. Chapitre II. Si la
divisibilité est une proprieté du corps, comme elle l'est de la
quantité. Chapitre III. Si la quantité indéterminée est de
l'essence des corps particuliers, & si la quantité déterminée en
est un accident commun. Chapitre IV. Si le vuide des philosophes
est impossible. Chapitre V. Si le monde est immense. Chapitre VI.
Si le lieu interieur est le corps qui occupe ce lieu. Chapitre VII.
Si les cartesiens definissent bien le mouvement local. Chapitre
VIII. Si un corps se peut mouvoir de luy-mesme. Chapitre IX. Si un
corps en mouvement continuë à se mouvoir. Chapitre X. Si tout
corps qui est mû en rond, tend sans cesse à s'éloigner du centre
du cercle qu'il décrit. Chapitre XI. S'il faut plus de force à
mouvoir un grand corps qu'à en mouvoir un petit. Chapitre XII. Si
les regles que M. Descartes a données touchant le mouvement des
corps qui se choquent, sont veritables. Chapitre XIII. S'il y a
toujours dans le monde une mesme quantité de mouvement. Chapitre
XIV. Si la formation des trois elemens de M. Descartes, est
possible. Chapitre XV. Si dans le grand tourbillon les planetes
tournent autour de leur propre centre, & font un tourbillon
particulier. Chapitre XVI. Si les corps pesans descendent à cause
du mouvement circulaire du tourbillon particulier de la terre.
Chapitre XVII. Des corps liquides & des corps durs. Chapitre XVIII.
S'il y a des corps durs par eux-mesmes. Chapitre XIX. De l'aiman.
Chapitre XX. De l'ame des bestes. Chapitres ausquels il n'a pas
esté répondu dans la premiere partie, & dont il est parlé dans
la preface. Chapitre premier. Du doute que les cartesiens exigent
pour la recherche de la verité. Chapitre II. Si le doute des
cartesiens est serieux, effectif & absolu. Chapitre III. Si ce
doute est general, & s'il s'étend sur sa propre pensée. Chapitre
IV. Si après un doute general, on peut s'assurer de quelque chose.
Chapitre VII. Si l'évidence est le vray & unique caractere de la
verité. Chapitre XXXII. Si c'est la volonté qui juge & qui
raisonne.
- Place
-
-
- Preferred form
-
- Paris (France)
- Original form
-
- Paris (FR)
- Other form
-
- Paris
- Paris (France)
- France (Paris)
- Paris ( ?) : cf. Hans-Collas ― Schandel, p. 326
- Paris ( ?).
- France, Paris (?)
- Lieu de copie : Paris
- France, Paris ( ?)
- France (Paris ?)
- France, Paris
- France (Paris )
- Paris (?)
- France : Paris?
- Chaillot
- France (Paris).
- Paris,
- Paris ( ?)
- Paris (?) (Hervieux éd. 1970, t. III, p. 176).
- Paris (?) : le ms. a été vraisemblablement copié sur le ms. BnF, Latin 347 C exécuté à Paris
- Paris (1378-1380)
- France (Paris ?),
- France (Paris?)
- Paris.
- Paris (vers 1375)
- Paris ( ?), peut-être avec influence méridionale
- Paris (Fichier Avril)
- France, Paris ?
- France [Paris ?]
- Nord de la France, Paris (?)
- Paris ?
- Paris?
- Paris Region
- París
- Parijs
- Paris (région)
- Paris (regió)
- Paris (región)
- [Paris]
- Paris (parts A and B)
- Paris, for the Archdiocese of Bamberg
- P. Mauritius Enk, OSB St. Gall in Paris
- Paris, Jesuit Collège de Clermont
- Paris, Collège des Cholets
- Paris, Jesuit College de Clermont
- Paris, Collège de Navarre
- Paris Jesuit College de Clermont
- Paris, Jesuit College de Cleremont
- Paris, France
- [Paris (FR)]
- Paris (II)
- [Paris,
- [Paris],
- [Paris
- [Parijs]
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