Les heures perdues de Pierre Barthès, maître répétiteur en Toulouse, ou receuil des choses dignes d’être transmises à la postérité, arrivées en cette ville ou près d’icy, commençant au mois de décembre de l’année mil sept cens trente sept, et fini au mois d’aoust mil sept cens cinquante. Tome I à VII. Les heures perdues de Pierre Barthès, maître répétiteur en Toulouse, ou receuil des choses dignes d’être transmises à la postérité, arrivées en cette ville ou près d’icy, commençant au mois de décembre de l’année mil sept cens trente sept, et fini au mois d’aoust mil sept cens cinquante. II. Août 1750 à mai 1752